• Chapitre 4 :

    POV

     

    Naruto observa Konohamaru qui racontait sa journée à sa mère.

    Naruto afficha un sourire triste et celui-ci s'effaça aussi vite qu'il n'était apparu et il alla sur le toit.

    Il commença à s'adresser à la Lune :

     

    -Si je fais quelque chose de travers.. S'il te plaît.. C-ça te gênerais pas de m'dire ce que c'est ? Parce que j'ai beau essayer, je travaille dur.. Et pourtant personne ne me voit jamais !

     

    Il resta silencieux un moment, contemplant la lune puis lui lança :

     

    -C'est toi qui m'as mis là ! C'est vrai quoi ! Je pense que tu pourrais au moins me dire.. me dire pourquoi.

     

    Il fixa la lune, attendant une réponse, mais rien ne fit. Il lança à la lune un regard accusateur et s'en alla. Il se posa sur des cables et gela ceux-ci.. Mais sa tristesse fut vite dissipée lorsqu'il vit le sable dorée d'Hinata.

     

    -Tu tombes à pic, Hinata.

     

    Il se mit à courir sur le cable et toucha un filet de sable qui se transforma en dauphin, Naruto jubila, sa peine avait disparue.

    Mais pendant ce temps, dans la chmbre d'une enfant qui rêvait qu'elle chevauchait une licorne.. Le sable d'or montrant ce songe.

    Un rire mauvais se fit entendre, une ombre s'élargit et prit vie, quelqu'un s'approcha de la gamine.

     

    -Oh.. ! J'étais sûr d'avoir entendu le cataclope gracieux d'une licorne. Un petit rêve de toute beauté ! Et regardez cette enfant ! Quelle adorable fillette ! Comme elle est mignonne ! Tant d'emerveillement et d'espoir en elle.. en fait, il manque plus qu'un petit détail... Une touche de peur.. ! Dit-il en touchant de son doigt la licorne dorée qui avait l'air d'être torturée à son contact, la petite fille grimaça et le petit rêve devint un cauchemar. Il ordonna à sa petit créationde prévenir les autres cauchemars.

     

    -Ne me regarde pas comme ça, mon ami. Tu aurais dû te douter que ce jour viendrait. Lança Sasuke à la Lune. Il continua : Mes cauchemars sont enfin prêt.. est-ce que tes gardiens le sont ?

     

    Revenons à Naruto.

    Il se baladais dans la nuit, quand il aperçut une ombre passaient devant lui comme une flèche.

    Il suivit cette ombre jusqu'à arriver dans un cul-de-sac. Brandissant son bâton où cas il serait attaqué.

     

    -Salut, mon vieux !

     

    Naruto se retourna, il reconnaissait cette voix.. Kiba !

     

    -Ca fait un bail ! Continua Kiba : Blizzard de 68, si j'ai bonne mémoire.. C'était le dimanche de Pâque, non ?

     

    -Kiba ! Tu ne m'en veux quand même pas encore.. Sérieux ?

     

    -Oh que si !... Mais ce n'est pas ce qui m'ammène aujourd'hui.. Au travail, les gars !

     

    Naruto ne comprit pas du tout ce qui lui arriva, un yétis le prit par les vêtements.

     

    -Hé !! Repose-moi tout de suite ! Qu'est-ce que ?!

     

    Le yétis le fourra dans un sac et il disparurent. Dés que Naruto ouvrit le sac, il se trouvait devant les gardiens.

     

    -Ah.. Le voilà ! Naruto Frost ! Annonça Lee à tout le monde.

     

    -Oh.. ça alors.. Quelqu'un me fait une blague !

     

    Les yétis le prirent violemment.

     

    -Eehé ! Ho, ho ! L-lachez-moi !

     

    Ils le posèrent et Lee demanda :

     

    -Ils t'ont traités correctement, j'espère !

     

    Naruto ironisa alors :

     

    -Ooh.. Ouais ! J'aime être flanqué dans un sac et jeté à travers un portail magique !

     

    Lee répondit en riant :

     

    -Oh.. Tant mieux ! C'était mon idée ! Inutile de te présenter Kiba.

     

    -Ouais, inutile.. !

     

    -Et la Ninja des Dent, Sakura !

     

    Sakura fonça sur Naruto et lui dit :

     

    -Bonjour Naruto ! On m'a beaucoup parlé de toi.. Et de tes dents !

     

    -M-mes.. Mes quoi ?! Demanda Naruto, déconcerté.

     

    -Ouvre la bouche ! Sont-elles aussi blanches qu'on le raconte ? *elle soupire* Oh oui, c'est vrai qu'elles brillent comme la neige fraîche au soleil ! *les fées crient d'extase* Allons ! un peu de tenue, les filles ! Tachons de ne pas désohonnorer l'uniforme ! Elle s'en va avec ses fées.

     

    -Et Hinata, la marchande de sable.. *hinta somnole* Hinata ? Hinta ? *il tapote l'épaule d'Hinata* REVEILLE-TOI !!

     

    Hinata sursauta.


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  •  Chapitre 1

     ~Suis moi, Suis moi gwen...~

     Un sursaut...

     Des draps trempés de sueur...

     Encore lui...Encore ce rêve, touchant et pénétrant, horrible et joyeux en même temp, glacial et cruel ou a la fin , la jeune fille meurt des larmes sur les joues, cheveux blond dans le vent ,fixant le ciel étoiler comme si jamais elle le reverrais.

     *Un cauchemar...? Sens doute...un cauchemar triste et plein de sang. Toujours cette même fin...Pourquoi ne change t-elle pas?*

     Essuyant d'un révère de main mon fond tremper de sueur, plusieurs mèches noir comme la nuit y était plaquer, j’allumais la lumière les mains encore tremblote. La pénombre dans laquelle je m'étais réveiller ce dissipa en un claquement de doits. Ma bonne...ou est-elle? Un cri autoritaire et alarmer sortis de ma bouche:

     "-Calisse!Madamme Calisse!"

     Je l’entendis courir avec ces sabot beige, dans les couloirs au parquet ciré et poncé depuis peux. Sa cour s'arrêta devant ma porte, essoufflé elle était rentrai sens frapper:

     "-Oui Gwendoline?(Un soupir triste s'échappât de sa bouche)Encore ce rêve?

     -Oui Calisse, encore lui."

     Un sourire mélancolique et plein de compassion se dessinait sur son visage, s’asseyant sur le rebord de mon lit qui grinçât sous son poids, elle me tendit un objet ovale ou une multitude de files s'entremêlaientt telle une toile d'araignée:

     "-Prenez le Gwendoline, ils vous protégera.

     -Qu'es ce?

     -Un attrapeur de rêve, Gwendoline.

     -Oh...Mon rève sera t-il attraper?"

     Rigolent d'amusement elle prit l'objet et l'accrochât a mon lit, puis en sourient elle répondit a ma question:

     "-Oui, bien sur Gwendoline car quand un cauchemar voudra perturber votre sommeil, il sera attraper par les files..

     -La toile...(La coupais-je)La toile d'araignée clarisse.

     -Très bien, alors il sera attraper par la toile d'araigne et au petit matin quand le premier rayon du soleil pointera le jour il brulera."

    Son explication terminé elle sortit de la chambre plutôt carré ou de nombreuse poupée de style gothique était éparpiller par ci par là. Depuis la mort de mes parents ce cauchemar est venus chaque soir me hanté, chaque soir il était différent mais la fin toujours la même....

     *Pourrait-il m'aidé cette atrapeur de reve? Me sauverait t-il de ce rêve teinté de sang?*

     Malgré toutes ces questions, je savais que jamais, oui jamais je ne pourrais m'en débarrasser. Si je pouvais combattre moi même mon rêve peut être... disparaitrait t-il, cette idée fantaisiste disparus comme elle était a parus.

     "-Combattre ton rêve ihih...Serai tu prête à combattre ton rêve pour t'en débarrasser ihih? Replongeras-tu dans Wonderland pour qu'il parte ihih?"

     *Oui.....Je plongerai dedans pour qu'il disparaissent..C..cette.. voix d’où vient-elle?Je l'a connais.*

     Tournant ma tète brutalement je pus apercevoir a l'autre bout de la pièce ,là entrain de siroter un thé fument sur une table qui n'appartenait pas a ma chambre,un clown,ce clown vêtu d'un chapeau de bouffon, d’une salopette troué,sans doute par la suite rapiécer avec du tissus n'appartement pas a l'accoutrement. Un visage fin, des cheveux blond sale , des ronds rouge sur chaque pommettes ,on aurait dit un clown tout droit sortis d'un rêve.

     *D..de mon rêve...*

     Beguéllent de surprise j'us du male à formuler les quelque mots qui composait ma phrase:

     "-C..Clown farceur?

     -Oui ihih c'est moi Gwen ihih!"

     *Me connait-il?*

     En une fraction de seconde  il se retrouva a califourchon sur mes couvertures qui ce salit par ces chaussure rouge, le visage a quelque centimètre du mien, léchant ces lèvres malicieusement il dit en ricanent:

     "- Veux-tu te débarrasser de ce rêve? Veux-tu vraiment quitter Wonderland pour toujours??Si oui suis moi, suis moi ihih"

     Paf!Pif!Pouf!

     Il disparut dans un nuage noir pour ce retrouver devant la porte de la pièce qui me servait de chambre, il me sourit et formula une phrase en ricanent  a la fin:

     "-Suis Gwen, vite,vite ou la porte ce refermera!ihih"

     Ce personnage de rêve me fit un signe de la main et s’évanouit dans le couloir sombre. J’entendais chacun de ces pas qui faisait un song de clochette, ce song doux et agréable, un song que je parus connaitre depuis longtemp.

     Poursuivant ce clow a l'allure de fous dans de nombreux couloir les plus identique les uns que les autre qui  pour certain  m'était inconnus.

     Pendant la fraction d'inattention que j'avais eu,il avait disparut, me laissent,seul dans un couloir sombre, au bout de celui-ci une porte, sur cette porte inscrit en grosse lettre: -WONDERLAND-.

     *Encore Wonderland...*

     Etait-il partis par la? Bien décidé à ne plus faire ce rêve triste et cruelle j'ouvris la porte et là....

     A suivre.

     Chapitre 1

     ~Suis moi, Suis moi gwen...~

     Un sursaut...

     Des draps trempés de sueur...

     Encore lui...Encore ce rêve, touchant et pénétrant, horrible et joyeux en même temp, glacial et cruel ou a la fin , la jeune fille meurt des larmes sur les joues, cheveux blond dans le vent ,fixant le ciel étoiler comme si jamais elle le reverrais.

     *Un cauchemar...? Sens doute...un cauchemar triste et plein de sang. Toujours cette même fin...Pourquoi ne change t-elle pas?*

     Essuyant d'un révère de main mon fond tremper de sueur, plusieurs mèches noir comme la nuit y était plaquer, j’allumais la lumière les mains encore tremblote. La pénombre dans laquelle je m'étais réveiller ce dissipa en un claquement de doits. Ma bonne...ou est-elle? Un cri autoritaire et alarmer sortis de ma bouche:

     "-Calisse!Madamme Calisse!"

     Je l’entendis courir avec ces sabot beige, dans les couloirs au parquet ciré et poncé depuis peux. Sa cour s'arrêta devant ma porte, essoufflé elle était rentrai sens frapper:

     "-Oui Gwendoline?(Un soupir triste s'échappât de sa bouche)Encore ce rêve?

     -Oui Calisse, encore lui."

     Un sourire mélancolique et plein de compassion se dessinait sur son visage, s’asseyant sur le rebord de mon lit qui grinçât sous son poids, elle me tendit un objet ovale ou une multitude de files s'entremêlaientt telle une toile d'araignée:

     "-Prenez le Gwendoline, ils vous protégera.

     -Qu'es ce?

     -Un attrapeur de rêve, Gwendoline.

     -Oh...Mon rève sera t-il attraper?"

     Rigolent d'amusement elle prit l'objet et l'accrochât a mon lit, puis en sourient elle répondit a ma question:

     "-Oui, bien sur Gwendoline car quand un cauchemar voudra perturber votre sommeil, il sera attraper par les files..

     -La toile...(La coupais-je)La toile d'araignée clarisse.

     -Très bien, alors il sera attraper par la toile d'araigne et au petit matin quand le premier rayon du soleil pointera le jour il brulera."

    Son explication terminé elle sortit de la chambre plutôt carré ou de nombreuse poupée de style gothique était éparpiller par ci par là. Depuis la mort de mes parents ce cauchemar est venus chaque soir me hanté, chaque soir il était différent mais la fin toujours la même....

     *Pourrait-il m'aidé cette atrapeur de reve? Me sauverait t-il de ce rêve teinté de sang?*

     Malgré toutes ces questions, je savais que jamais, oui jamais je ne pourrais m'en débarrasser. Si je pouvais combattre moi même mon rêve peut être... disparaitrait t-il, cette idée fantaisiste disparus comme elle était a parus.

     "-Combattre ton rêve ihih...Serai tu prête à combattre ton rêve pour t'en débarrasser ihih? Replongeras-tu dans Wonderland pour qu'il parte ihih?"

     *Oui.....Je plongerai dedans pour qu'il disparaissent..C..cette.. voix d’où vient-elle?Je l'a connais.*

     Tournant ma tète brutalement je pus apercevoir a l'autre bout de la pièce ,là entrain de siroter un thé fument sur une table qui n'appartenait pas a ma chambre,un clown,ce clown vêtu d'un chapeau de bouffon, d’une salopette troué,sans doute par la suite rapiécer avec du tissus n'appartement pas a l'accoutrement. Un visage fin, des cheveux blond sale , des ronds rouge sur chaque pommettes ,on aurait dit un clown tout droit sortis d'un rêve.

     *D..de mon rêve...*

     Beguéllent de surprise j'us du male à formuler les quelque mots qui composait ma phrase:

     "-C..Clown farceur?

     -Oui ihih c'est moi Gwen ihih!"

     *Me connait-il?*

     En une fraction de seconde  il se retrouva a califourchon sur mes couvertures qui ce salit par ces chaussure rouge, le visage a quelque centimètre du mien, léchant ces lèvres malicieusement il dit en ricanent:

     "- Veux-tu te débarrasser de ce rêve? Veux-tu vraiment quitter Wonderland pour toujours??Si oui suis moi, suis moi ihih"

     Paf!Pif!Pouf!

     Il disparut dans un nuage noir pour ce retrouver devant la porte de la pièce qui me servait de chambre, il me sourit et formula une phrase en ricanent  a la fin:

     "-Suis Gwen, vite,vite ou la porte ce refermera!ihih"

     Ce personnage de rêve me fit un signe de la main et s’évanouit dans le couloir sombre. J’entendais chacun de ces pas qui faisait un song de clochette, ce song doux et agréable, un song que je parus connaitre depuis longtemp.

     Poursuivant ce clow a l'allure de fous dans de nombreux couloir les plus identique les uns que les autre qui  pour certain  m'était inconnus.

     Pendant la fraction d'inattention que j'avais eu,il avait disparut, me laissent,seul dans un couloir sombre, au bout de celui-ci une porte, sur cette porte inscrit en grosse lettre: -WONDERLAND-.

     *Encore Wonderland...*

     Etait-il partis par la? Bien décidé à ne plus faire ce rêve triste et cruelle j'ouvris la porte et là....

     A suivre.

    Tirer du blog de  l'auteur:   http://storyhastheenver.eklablog.com/-c19256567


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  • ~Comme une recette

    *Comme dans une recette il faut des œufs de la farine du lait et deux, trois autre choses, ici il faut une fille endormis, un garçon amoureux, des senteurs et  des saveurs, pour donner un merveilleux gâteau d'amour*

     Adossée a un arbre en fleur je sentis une douce brise printaniere faire onduler mes cheveux doré dans l'aire chaud. Le calme et le soleil donnaient a cette cour de récrée une multitude de senteur dont celle d'une effluve de  lys qui vint titiller mon nez. Une odeur douce et en même temps amer. Certains rayons du soleil chauffait mon visage blanchâtre, peut être qu'un bronzage serai apparus sur ma peau a mon réveille....Un cuicui par la et un cuicui par si rendait le monde dans le quelle je m'étais endormis encore plus fantastique. Quelque pétales de fleurs se posaient sur ma tête ou sur ma jupe. Mais...brusquement tout ceci ce brisa et là un baiser me fut voler, violant et a la fois hasardeux, timide et joyeux, doux comme du miel et chaud comme le soleil, calme et agréable, et pour pimenter le toux comme la cerise sur un gâteau le gout de pomme vint se rajouter.

     A la fin de la recette j'ouvris les yeux...

     Ce visage, rassurant et souriant dont je connaissais mille et une saveur et odeur était là ,devant moi .C'était le visage de celui a qui j'ai dit pour la première fois:

     "Je t'aime"

    Fin

    Tirer du blog de l'auteur de l'histoire: http://storyhastheenver.eklablog.com/-c19241525


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